Afin de mettre en application les premiers cours de recherche aux baguettes parallèles (week-end du 17 et 18 janvier 2004),
j'ai parcouru un chemin pour découvrir des circulations d'eau souterraine nocives.
A chaque signal des baguettes, je m'arrêtais et regardais alors à droite et à gauche du chemin,
pour trouver des indices confirmant la présence de l'eau.
Voici les effets des courants d'eau découverts lors de cette première recherche, sur un bâtiment ou sur la végétation :
une étable fissurée, heureusement sans animaux
des pommiers qui s'écartent du courant
un pied de frêne fourchu
une jeune cépée d'érable champêtre (à gauche) et un chêne (à droite)
qui auraient aimé pousser ailleurs
Que Thierry GAUTIER soit ici remercié pour cette fructueuse initiation
photographiés le 8 avril 2004, ces deux hêtres entrelacés
photographiée le 11 avril 2004, cette cépée de chêne de 4 troncs
et sur le même courant d'eau, ce merisier malade
photographiée le 22 mai 2004, cette aubépine fuyant un fort courant d'eau
photographié le 22 mai 2004, ce pommier dont on contrarie inutilement la volonté
photographié fin mai 2004 : les tilleuls sont très sensibles à l'eau
On ne voit rien. On n’entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence…
– Ce qui embellit le désert, dit le petit prince, c’est qu’il cache un puits quelque part…